Louis-Claude VINCENT (1906-1988), ingénieur des travaux d’hygiène publique et spécialiste en hydrologie, est le créateur de la bio-électronique qui porte son nom.
Dès 1936, il constate que « les taux de mortalité de maladies de tous ordres sont directement liés à la qualité des eaux délivrées aux populations. Ils croissent en particulier lorsque les eaux sont très minéralisées et rendues artificiellement potables, après traitement et adjonction de produits chimiques oxydants ».
L'analyse de l'eau de boisson
Aujourd’hui, la Bioélectronique est une méthode d’évaluation de notre terrain grâce à un graphique en 4 zones reprenant différents paramètres (pH, résistivité, potentiel d’oxydo-réduction).
Sa position dans le graphique établit notre propension ou non aux maladies. Cela nous permet de mieux choisir notre alimentation, la qualité de notre eau de boisson,… de manière à retourner ou à se maintenir dans la zone dite de bonne santé. Selon ses critères, l’eau de boisson idéale est :
- une eau faiblement minéralisée (entre 10 et 120 mg/litre de résidu à sec),
- dont le pH est légèrement acide (entre 6 et 7),
- ayant un pouvoir d'oxydoréduction (ou rH2) compris entre 24 et 28, et une résistivité électrique supérieure à 8000 ohms.
Au regard de ces références, seules certaines eaux en bouteille seraient indiquées…
Mais cela ne vous épargne ni la corvée du transport des bouteilles, ni du recyclage...
Adapté à l’analyse de l’eau, le bioélectronigramme reprend son graphique en 4 zones. Le petit rectangle vert représente une eau parfaitement biocompatible, le point bleu symbolise l’eau analysée selon ses différents paramètres.
Nous pouvons vous proposer d'analyser votre eau du robinet selon les méthodes de la Bioélectronique de Vincent, afin de vous conseiller au mieux dans un système de traitement de l'eau parfaitement adapté.
Cette analyse est facturée 25.00 €, qui sont ensuite déduits de l'achat d'un système de filtration ou d'osmose inverse.
